Nous retrouvons ici le pianiste parcourir de nouveaux territoires sur son clavier, armÂe de tambours Iraniens, d'un violoncelliste Turc, d'une chanteuse Syrienne, d'un duduk ArmÂenien, de rythmes "Alaturka", et repoussant les frontiÁeres mentales pour dessiner les contours d'un paradis perdu, entre Vienne et Samarkhande, Áa la recherche d'Âeclats de spleen, pour retrouver, le temps d'un album, l'Ãame de ses ancÃetres.